Petite Enfance
CMJ 2015 – Trombinoscope
MAISON PETITE ENFANCE
Les “Mille couleurs” en fête…
Juste avant de fermer ses portes pour le mois d’août, la Maison Petite Enfance avait organisé un petit spectacle à l’attention des familles. Des comptines à chanter ou danser étaient au programme de ce moment d’émotion… Une première pour les bambins comme pour les parents, visiblement ravis de cette initiative. Autour du verre de l’amitié qui a suivi et des pizzas cuisinées par les enfants, la convivialité était au rendez-vous de cette fin d’année festive. Ouverte depuis 2011, la structure accueille de façon occasionnelle ou régulière une quinzaine d’enfants par jour, âgés de 10 semaines à 4 ans. Pour la seule année 2013, ce service social de proximité a concerné 64 enfants différents, soit 61 familles au total.
RIGOLYMPIQUES 2014
INAUGURATIONS DE FINS DE CHANTIERS
CENTENAIRE
100 roses rouges pour Léa !
Au cours d’un après-midi d’avril, la maison de retraite de Beauvoir était en fête, et pour cause… Entourée des siens et des résidents, Léa Villeneuve y soufflait ses 100 bougies, non sans une certaine émotion. Pour l’occasion, les membres du CCAS de Malataverne étaient venus témoigner leur affection à cette malatavernoise de cœur, alors que le service occupe aujourd’hui son ancienne demeure…
- Léa soufflant ses bougies.
Née le 31 mars 1913 dans la commune d’Allan, Léa passe une partie de sa vie avec sa sœur Marie-Louise et son frère Jules dans la ferme familiale. Elle quitte le cocon familial en 1941 pour épouser Jules Villeneuve, viticulteur, et vient habiter avec lui à Malataverne où elle élèvera sa fille, Huguette. Elle aide son mari dans l’exploitation agricole et à la mort de celui-ci en 1993, elle reste très active, s’occupe de sa famille, de ses amis, ou encore participe au club des Tamalous.
Lors de son discours, Alain Fallot s’est remémoré les douces après-midi provençales : « Léa, assise sur la chaise de sa terrasse, la canne contre une jambe, faisait toujours un signe de la main aux habitants qui la croisaient… ». À 93 ans, elle quitte pourtant Malataverne pour rejoindre sa sœur Marie-Louise à Beauvoir, qu’elle a déclaré être « sa nouvelle maison » le jour-même de son arrivée.
La commune acquiert alors cet habitat qui deviendra, quelques temps plus tard, l’annexe de la mairie. Sa demeure abrite aujourd’hui le poste de police municipale, les services du CCAS (Centre Communal d’Action Sociale) et les bureaux de certaines commissions, dont celle de la vie associative.
Ainsi en ce vendredi d’avril, les témoignages d’affection se sont multipliés…
Les maires d’Allan et de Malataverne se sont tour à tour renvoyés la balle, non sans humour, attestant tous deux qu’il faisait décidément bon vivre dans leur commune respectives ! Le docteur Hamadé était également présent. Aujourd’hui à la retraite, il témoignait des bons soins prodigués au long cours à ses désormais trois centenaires (citons Georges Roux, mais aussi Marie-Louise Estran, qui n’est autre que la sœur de Léa). Quant à la nouvelle directrice, Caroline Ceugniet, elle se faisait une joie d’offrir 100 roses rouges à sa 1ère centenaire.
Entre autres bouquets, cadeaux et marques d’affection de toutes sortes, le récit de sa vie, évoqué par Martine Charpentier (présidente des Amis de Beauvoir) a particulièrement ému Léa. Mais c’est finalement avec bonheur qu’elle a soufflé ses 100 bougies, puis partagé le traditionnel gâteau d’anniversaire, sur fond de chansons françaises d’autrefois et de belles amitiés retrouvées.
CHAPELLE DE RAC
Tennis club
TENNIS CLUB
Ecole adultes et jeunes à partir de 4 ans au Tennis-Club de MALATAVERNE
CONTACTS :
M. Benjamin PIERART – Responsable école de tennis de Malataverne :
06 68 82 42 12 / tennismalataverne26@gmail.com
Renaud MURAOUR (Secrétaire) : 06 84 26 12 64.
INSCRIPTIONS :
Renseignements et animations consultables sur le site culturetennis.com
Rubrique mon école / Malataverne et cliquez sur le lien animation Malataverne.
Rencontre Animation Culture
RENCONTRE ANIMATION CULTURE
Au commencement, était l’ARCR…
Avant de devenir R.A.C. (Rencontre Animation Culture), l’association s’appelait ARCR (Assoc. pour la Rénovation de la Chapelle de Rac).
Objet des statuts de l’ARCR : « Restauration de la Chapelle pour le maintien du lieu de culte dans de bonnes conditions et promotion des actions culturelles. »
- CHAPELLE DE RAC :
- En 2001, création de Association pour la Rénovation de la Chapelle de Rac
(A.R.C.R)
-
2002 : premières actions culturelles : tombola, vide-grenier, chorale ;
- 2002 à 2005 : préparation du dossier pour la restauration (travaux et son financement) ;
- 2005-2006, maçonnerie intérieure et électricité ;
- 2007, réalisation du vitrail-est par des bénévoles de l’association ;
- 2008, réfection de la Chapelle du Rosaire et réalisation du vitrail-sud ;
- 2009, restauration des deux statues, et mise en place du vitrail-ouest ;
- 2010, rénovation complète de la façade de la Chapelle de Rac ;
- 2011, restauration de l’autel principal et de son estrade par des bénévoles ;
- 2013, restauration de la voûte ;
- 2014, restauration de la sacristie.
2014 : l’ARCR devient R.A.C.
- En 2014, la rénovation de la chapelle est enfin achevée, l’ARCR n’a donc plus lieu d’être en l’état mais il faut faire vivre ce lieu à la fois cultuel et culturel.
- Lors de sa dernière assemblée générale, l’association modifie ses statuts. La nouvelle association s’intitule désormais R.A.C. Sa vocation est purement culturelle.
- L’acronyme évoque le berceau de la chapelle, mais Rencontre Animation Culture s’adresse à tous les Malatavernois comme à tous les férus de culture musicale, picturale, scientifique, etc, qu’ils soient d’ici ou d’ailleurs. C’est pourquoi sa programmation peut investir tous les lieux de Malataverne.
Activités culturelles régulières de R.A.C.
- Chaque année, au 1er mai : Exposition d’artistes au sein de la Chapelle de Rac.
- La chorale de Malataverne « À Travers Chants » vient chanter en décembre, avant Noël.
- R.A.C. organise aussi, au sein de la chapelle de Rac, des concerts de musique baroque, lyrique, sacrée, contemporaine etc. Elle invite des chorales, des conteurs etc.
- Des conférences sont proposées au foyer Jean-Henri Moulin ou en mairie (sur les orchidées, sur les chauve-souris…).
- Consultez l’agenda Illiwap , sur ordinateur ou appli mobile, pour connaître toute la programmation de R.A.C.
Informations – Contact :
- Élisabeth GOIRAND
Hameau de Rac , 26780 Malataverne
Tél : 06 17 20 27 86
Courriel : rac.culture26@gmail.com
Site de Montchamp
La chapelle de Notre Dame de Montchamp [1]
Pour qui emprunte l’Autoroute A7 ou la Nationale 7, un petit édifice blanc apparaît sur la colline qui sépare Malataverne de Donzère. C’est le Prieuré de Montchamp, devenu Sainte Marie de Montchamp, puis Notre Dame de Montchamp. C’est probablement le plus vieil édifice religieux encore en activité sur la Paroisse Notre Dame du Rhône.
Au VIe siècle un sanctuaire dédié à Saint Michel est érigé à l’emplacement d’un lieu de culte gallo-romain probablement dédié à Mercure.
Aux XIe et XIIe siècles est construit un prieuré par l’Ordre de St Médard relayé par l’Ordre de St Ruf puis les Jésuites d’Avignon. La chapelle romane, principal édifice du prieuré, a une histoire très mouvementée (tractations patrimoniales, politiques, mercantiles, guerres de religion, période révolutionnaire durant laquelle elle est préservée en servant de bergerie, destruction du clocher en 1945 [2], etc.).
Dès 1948 elle est partiellement restaurée au titre de la reconstruction, puis par les paroissiens de Malataverne animés par l’abbé Roche et son père (qui fait le Chemin de Croix), puis par le Père Morel qui crée une association qui durera jusqu’en 1999. En 1963, il fait ouvrir le chemin d’accès actuel, et réalise un local abri-magasin. En 1965 est établi un parc à voitures sur un terre plein de 4000 m2.
Montchamp est idéalement placé pour l’installation d’antennes de télécommunications, dont la location permet au Père Roussey, recteur de 1982 à 1999, de financer la restauration de la chapelle et du site avec l’aide de la commune de Malataverne, qui refait la toiture. Depuis 1999, gestionnaire de Notre Dame de Montchamp, il continue son œuvre sans faire appel aux finances diocésaines ou paroissiales (électrification, sécurisation, salle hors sacs, sanitaires, essartage, terrasse, etc.).
Montchamp est lieu de pèlerinage en septembre (fête de St Michel) et quelques rares offices y sont célébrés.
Montchamp et son chemin de croix [3]
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Le chemin de croix, aux couleurs d’automne. - Le chemin de croix, aux couleurs d’automne.
C’est quoi un chemin de croix ?
Depuis la paix de Constantin (en l’an 313) des chrétiens ont voulu, chaque année, se trouver à Jérusalem lors de la Semaine Sainte et refaire le chemin de la Passion du Christ. Les Franciscains, gardiens des lieux saints depuis le XIVème siècle, imaginèrent et diffusèrent aux XIVème et XVème siècles la dévotion du Chemin de Croix, d’abord à Jérusalem sur les pas de Jésus, puis, pour ceux qui ne pouvaient effectuer le voyage, dans le cadre de la vie religieuse local, en faisant prier et méditer à chaque étape (station), en plein air ou dans les églises. Le nombre de stations a évolué jusqu’au XVIIIème siècle, où elles furent fixées à 14 par les papes Clément XII et Benoît XIV. Une quinzième fut rajoutée à Lourdes en 1958.
Le chemin de Montchamp
La Paroisse Notre Dame du Rhône possède à Montchamp un Chemin de Croix en plein air, ce qui n’est pas très fréquent bien qu’il existe des Chemins de Croix en plein air célèbres (celui de Burzet par exemple). Le Chemin de Croix de Montchamp a été érigé en 1945 par le père de l’abbé Roche curé de Malataverne, tailleur de pierre. Il part du pied du chemin de Montchamp pour s’élever sur 1 km environ, en 14 stations jusqu’au terre-plein de la chapelle ou la 15ème station est un petit bâtiment ossuaire.
Chaque croix en pierre taillée est montée sur un fut et un socle en pierre, utilisant parfois des colonnes de réemploi. Malheureusement le vandalisme a causé beaucoup de dégâts. On remarquera, sur le socle de la XIVème station, le nom gravé du sculpteur ROCHE.
Cette réalisation fait l’objet, chaque Vendredi Saint, d’un Chemin de Croix réunissant des fidèles de la Paroisse Notre Dame du Rhône qui montent à pied, s’arrêtant à chaque station pour méditer une lecture, prier un Notre Père et chanter un hymne. Cette célébration se termine par une prière à la Vierge dans la Chapelle de Montchamp.
Notes
[1] Source : www.ndrhone-valence.cef.fr, d’après l’article de M. Jeantet
[2] voir l’article de Patrick Morand sur la cloche russe
[3] Source : www.ndrhone-valence.cef.fr, d’après l’article de M. Jeantet
Vues, de Navon
PRÉVENANCE TRAVAUX
M’inscrire et être informé des coupures de courant
Pour développer le réseau et améliorer la qualité de mon alimentation, des travaux réguliers sont réalisés sur les réseaux de distribution.
Client particulier, « Prévenance Travaux » propose de me tenir informé des éventuelles coupures d’électricité pour travaux sur les réseaux.
Il suffit pour cela de m’inscrire sur le site : www.enedis-prevenance.fr
Chantal B. Grisoni
Née à Montpellier, ville chère à mon cœur, Chantal vit dans la Drôme depuis 27 ans. Elle est depuis toujours passionnée par l’écriture, le théâtre, la peinture. Elle anime des ateliers d’expression depuis de nombreuses années au sein de l’association « Le jardin des mots ». L’Art sous toutes ses formes est selon elle “une ouverture sur la vie, sur les autres, sur soi-même et permet de panser les blessures”.
L’écriture s’est imposée très tôt dans sa vie. D’abord un journal vers 11 ans, puis des poèmes, des nouvelles, des pièces de théâtre. L’écriture.
“Le cri” est son premier roman publié : “Il a germé dans ma tête après la perte d’un enfant. Je n’ai pas voulu écrire une biographie, j’ai attendu 37 ans pour que naisse cette fiction”. “Le cri” est l’histoire de Charlotte, au bord de la folie, et de Jérôme, homme blessé, fragile. Leur rencontre… Un corps à corps qui les conduira au bord de la méditerranée. À la croisée d’un chemin, il y aura l’Algérie…Le désert, où tout finit, où tout recommence… “Le cri” est un cri de fureur, un cri primal, un cri d’espérance. C’est le récit de blessures d’enfants, qui impactent la vie d’adulte, des non-dits, des silences qui nous empêchent d’être nous-même pour faire des choix de vie qui soient vraiment les nôtres.
ERDF enfouie les lignes de moyenne tension
Plusieurs mois de travaux, au cœur du village
Le chantier a débuté le 8 octobre 2015, avec le forage de l’entreprise belge Infra le long du lotissement Les Peupliers, et devrait prendre fin en mai 2016. ERDF lance en effet de grands travaux d’enfouissement du réseau électrique moyenne tension, au cœur du village. Des équipes interviendront épisodiquement au cours de mois à venir, mais ne devraient pas entraver la circulation ou l’accès aux habitations. Des coupures de courant de courtes durées pourront parfois être enregistrées, mais ERDF en informera les riverains. Et en cas de coupure importante prévisible, ERDF prévoit l’installation de groupes électrogènes pour pallier les besoins.